Avr 242013
Tanguy Viel joue les agents doubles et les fauteurs de troubles.
Récit-hommage à une littérature universelle ou pied de nez à peine masqué aux écrivains qui veulent faire plus américain que les Américains eux-mêmes ? Il sera bien difficile de trancher et le propos est sans doute ailleurs.
En quelques lignes nous voilà déjà embarqués dans la construction/déconstruction en temps réel d’une histoire qui tourne mal, une de celles qui ne peuvent arriver qu’aux États-Unis.
Comme qui dirait un road trip ou un thriller imparable.
La disparition de Jim Sullivan – Tanguy Viel – ed. Minuit – 14.00 euros